Selon les scientifiques et les médecins, les addictions sont des maladies du cerveau, caractérisé par la dépendance à une substance ou une activité.
Les addictions à toutes sortes de substance ou activité dégénèrent la santé mentale du cerveau. Voilà pourquoi, les chercheurs étudient les mécanismes d’apparition, du maintien, des rechutes en addiction. Ils analysent la vulnérabilité des hommes, les sociétés, l’environnement. Ces données proposent une prévention efficace de la drogue, ainsi qu’une prise en charge des toxicomanes.
Interpréter le phénomène d’addiction de la drogue
L’addiction est une maladie due à une consommation abusive des drogues, alcool, tabac, ou une dépendance aux jeux et réseaux sociaux. Elle mène à l’inconscience, au bouleversement émotionnel, le dysfonctionnement des organes, le déséquilibre de la vie personnelle, professionnelle et sociale. Pour plus d’informations, cliquez ici.
Les facteurs de risque de la consommation à l’addiction
L’apparition de l’addiction dépend de trois éléments : l’individu, la substance, l’environnement. Notamment, l’âge, le sexe, la maturité du cerveau, la personnalité et l’humeur sont touchés par l’addiction. Toutefois, les jeunes, les hommes sont les plus vulnérables. Comme exemple, un adolescent buvant de l’alcool peut devenir dix fois un alcoolodépendant à l’âge adulte, qu’un jeune de 20 ans. Comme ceux qui aiment les sensations fortes, les personnes anxieuses, égoïstes, déprimées, sont victimes de dépendance. L’activité des neurotransmetteurs commandant le comportement et les fonctions motrices du corps est différente pour chaque être humain, ce qui entraine une vulnérabilité à l’addiction. Le dérèglement des dopamines rend l’humeur vulnérable. D’autre part, cette disparité neurobiologique dépend des facteurs génétiques. En effet, les gènes du métabolisme et les neurones du circuit de récompense sont complémentaires. Ainsi, l’allèle A1 du récepteur à la dopamine forme un risque d’addiction, d’après la recherche des comportements compulsifs ou impulsifs. Les mutations justifient les effets ressentis par les drogués à la même drogue. Elles provoquent une drogue dépendance. Les sensations agréables de la drogue, les effets positifs sur le comportement psychique tels que la désinhibition ; l’oubli des problèmes ; l’amélioration des performances reproduira une nouvelle expérience. Il concerne aussi la tolérance à la substance illicite, aperçu à ses effets positifs et modérés. Concernant le produit, l’addiction vient à une ou quelques prises de crack, cocaïne. Ce processus sera moins lent pour l’alcool et les jeux. Tout provient du degré d’addiction sur la nature et l’intensité des neurotransmetteurs. De plus, le tabac, l’héroïne, la cocaïne, l’alcool se classent parmi les produits dangereux, une fois qu’il est fréquemment consommé.
La dépendance à la drogue par le comportement
Le passage à l’addiction varie selon trois stades : le premier active le circuit cérébral de la récompense, après la consommation des substances. Il s’enclenche sous l’effet de la dopamine, dans le noyau accumbens. La personne est tentée de consommer de la drogue à plusieurs reprises. Ainsi, une quantité abondante de dopamine se délivre par anticipation de l’arrivée de la récompense. Ainsi, le cerveau cherchera une nouvelle substance de drogue. C’est la recherche de plaisir. D’autre part, les systèmes de neurotransmission se transforment simultanément en sérotonine ou des récepteurs d’endorphines. La sensibilité des molécules endogènes favorise la sensation de bien-être et d’antalgie, à la suite d'une diminution de production naturelle d’endorphine. Le plaisir ne se ressent après l’entrée de la substance extérieure, par conséquent, le manque et la tolérance stoppe la drogue dépendance. Le second est la diminution progressive de dopamine libérée à la consommation de substance, qui rend le circuit de la récompense moins réceptif à la stimulation des molécules. Les décharges massives de dopamine amènent à une modification du fonctionnement de l’amygdale cérébrale, tandis qu’elles stressent la droguée avec des pensées négatives. C’est d’ailleurs pour cette raison que la motivation de tous les jours diminue. De son côté, la dose de substance consommée augmente ; pour combler le circuit de la récompense ; et calmer la dysphorie. En tout, la consommation excessive de substance conduit l’esprit à une pensée négative, et non à se faire plaisir. Ce passage déclenche une perte progressive de la plasticité cérébrale, ou l’assimilation des neurones. Pendant le troisième stade, les circuits de la récompense et des émotions détruisent le processus du cortex préfrontal. Notamment, il concerne l’autorégulation, la prise de décision, l’envie de fumer. Cette perte de contrôle entre dans un état de dépendance, même si les fumeurs désirent arrêter.
Les conséquences médicales de l’addiction
L’addiction présente des conséquences sur le rythme de vie, en passant de la maladie à la mort. Les premiers signes apparaissent immédiatement. L’euphorie, la perte de contrôle, la diminution du stress, la désinhibition, changent selon la nature de la substance. La consommation excessive de drogue conduit à des complications de la santé physique comme l’overdose, le coma éthylique. Une étude de l’OFDT montre que la conduite en état d’ivresse cause un accident mortel. En cas de prise de cannabis, ce risque est doublé de 15. Les symptômes de maladie chronique poussent à un sevrage et une tolérance à la drogue.